
Olivier BARNEFF
Droit du travail
Droit social
Master II Droit Privé général
Expertises
Après avoir collaboré pendant plus de 10 ans avec Maître Gérard THIEBAUT, Olivier BARNEFF a développé une compétence spécifique en matière de Droit du travail. Il intervient ainsi en cas de contentieux judiciaires devant le conseil des prud'hommes pour la défense tant des salariés que des employeurs, sur toutes les problématiques touchant le droit du travail :
- Licenciement,
- Demande de résiliation judiciaire,
- Prise d’acte de la rupture,
- Requalification des contrats à durée déterminée ou à temps partiel,
- Heures supplémentaires,
- Harcèlement,
- Burn out,
- Forfait jours
- Etc.
Parallèlement, il traite les dossiers devant le Pôle social du tribunal judiciaire afin de voir reconnaître et indemniser la faute inexcusable de l’employeur, qualifier et indemniser les accidents du travail et les maladies professionnelles ou encore opposant à les justiciables à la CAF (allocations familiales, AAH...), ou aux organismes de retraite (CNAV, MSA, CIPAV...).
Expériences
L’expérience acquise auprès des employeurs lui permet également de les assister au quotidien, au travers de contrats d’abonnement, pour répondre à leurs demandes de conseil, de rédaction de contrat, de lettres de sanction ou de licenciement, de gestion des ruptures conventionnelles homologuées, de mise en place des institutions représentatives du personnel, de gestion des situations d’inaptitude, de harcèlement ou encore d’épuisement professionnel...
Formations
Après avoir obtenu une maîtrise en droit à l’Université Paris 2 Panthéon-Assas et fini Major de promotion de Master 2 de Droit privé général, Olivier BARNEFF a intégré l’École des avocats de Paris en 2010. Dans le cadre de stages en tant qu’élève-avocat, il a rejoint le Cabinet ACG où il a pu développer des compétences en matière de droit du travail auprès de Maître Gérard THIEBAUT. À la suite de l’obtention de son Certificat d’Aptitude à la Profession d’Avocat en octobre 2011, il est devenu collaborateur du Cabinet ACG puis désormais associé.
Le licenciement pour faute grave est valable même en l’absence de mise à pied à titre conservatoire
Un salarié peut être licencié pour faute grave lorsqu’il a commis des faits qui rendent impossible son maintien dans l’entreprise. Tel est le cas par exemple de violences commises à l’encontre d’un supérieur ou d’un collègue, d’un vol de matériel, du non-respect des règles de sécurité, …
Dans cette hypothèse, l’employeur prend fréquemment une mesure de mise à l’écart du salarié de l’entreprise, sous la forme d’une mise à pied conservatoire : le salarié est invité à quitter immédiatement son poste.
La dispense de reclassement prononcée par le médecin du travail empêche l’employeur de licencier le salarié inapte pour refus de reclassement
Avertir par téléphone un salarié de son licenciement peut s’avérer dangereux
Une rupture conventionnelle peut-elle être valablement conclue en alternative à un licenciement pour motif disciplinaire ?
La dispense de reclassement du salarié inapte strictement encadrée par la loi.
Antidater la rupture conventionnelle, une fausse bonne idée
Un salarié déclaré inapte en cours de procédure ne peut être licencié pour un autre motif
Le seul dépassement de la durée maximale quotidienne de travail cause un préjudice au salarié ouvrant droit à réparation
L’inaptitude du salarié : la recherche de reclassement peut passer par l’aménagement du poste en télétravail
Le strict délai de notification du licenciement disciplinaire
